Et ainsi les Guerriers, par les chaudes journées de Victoire, lancent leurs chants :
« Regardez : la belle Fille d`Albion est assise nue sur la Pierre,
Sa victime haletante derrière elle ; son cœur est ivre de sang
Bien que son cerveau ne soit pas ivre de vin. Dépassant Albion
Dans la gloire de la beauté, dans une sainte cruauté, dans la splendeur
De son tabernacle, de ses arches et de ses lieux secrets. La belle Fille
D`Albion fait le délice des yeux des Rois ; leur cœur et le
Cœur de leurs Guerriers rougeoient devant Thor et Friga. O Molech !
O Chesmos ! O Bacchus ! O Venus ! O double dieu de la génération !
….Molech, amoureux des belles Filles, se rue auprès des Rois,
Mais elles froncent cruellement les sourcils, refusant toute autre joie.
Amenez vos Offrandes, vos premiers nés, dorlotés de lait et de sang,
Vos premier nés de sept ans, qu’ils soient Mâles ou bien Femelles,
Aux belles Filles d’Albion ! Elles s’amusent devant les Rois
Habillées avec la peau des Victimes : sang : sang humain : est la vie
Et la délicieuse nourriture des Guerriers : la chair bien nourrie des Guerriers
Parmi ceux qui sont massacrés à la guerre : remplie( ?) les Vallées de l’Ephraïm avec
Des Femmes Nubiles marchant dans l’orgueil, enfantant sous de verts arbres
Avec plaisir, sans douleur, car leur nourriture est le sang des Captifs.
Molech se réjouit à travers tout le pays, dans la
Loi morale et les sévères pénitences : le tonnerre de Shaddai et de Jéhovah
Retentit lourdement : quand ils voient les Douze victimes pantelantes
Sur les Douze Pierres du Pouvoir, et les belles Filles d’Albion
Si jamais vous osez déchirer leur Voile avec votre Lance, vous êtes guéris de l’Amour !
Ô belle Fille d’Albion, la cruauté est ton délice;
Ô Vierge aux yeux terribles, habitante de printanières Vallées,
Instruite pour jouer la harpe, pour danser dans les cercles de Guerriers
Devant les rois de Canaan; pour couper la chair des Victimes
Pour griller la chair dans le feu, pour examiner les membres de l’Enfant
En de saintes cruautés; pour refuser les joies de l’amour (...). Je suis ivre d’un amour insatisfait;
Je dois me précipiter à nouveau à la Guerre; car la Vierge a refusé en fronçant les sourcils.
Parfois je maudis et parfois je bénis ta fascinante beauté.
Il était un temps où l’Homme était occupé par des plaisirs et des énergies intellectuelles,
Mais maintenant mon âme est labourée par le chagrin, la peur, l’amour et le désir;
Et maintenant je hais, et maintenant j’aime, et l’Intellect n’est plus;
Il n’y a plus de temps pour rien d’autre que les tourments de l’amour et du désir.
Au paradis l’amour engendre l’amour, mais la peur est mère de l’amour terrestre!
« Regardez : la belle Fille d`Albion est assise nue sur la Pierre,
Sa victime haletante derrière elle ; son cœur est ivre de sang
Bien que son cerveau ne soit pas ivre de vin. Dépassant Albion
Dans la gloire de la beauté, dans une sainte cruauté, dans la splendeur
De son tabernacle, de ses arches et de ses lieux secrets. La belle Fille
D`Albion fait le délice des yeux des Rois ; leur cœur et le
Cœur de leurs Guerriers rougeoient devant Thor et Friga. O Molech !
O Chesmos ! O Bacchus ! O Venus ! O double dieu de la génération !
….Molech, amoureux des belles Filles, se rue auprès des Rois,
Mais elles froncent cruellement les sourcils, refusant toute autre joie.
Amenez vos Offrandes, vos premiers nés, dorlotés de lait et de sang,
Vos premier nés de sept ans, qu’ils soient Mâles ou bien Femelles,
Aux belles Filles d’Albion ! Elles s’amusent devant les Rois
Habillées avec la peau des Victimes : sang : sang humain : est la vie
Et la délicieuse nourriture des Guerriers : la chair bien nourrie des Guerriers
Parmi ceux qui sont massacrés à la guerre : remplie( ?) les Vallées de l’Ephraïm avec
Des Femmes Nubiles marchant dans l’orgueil, enfantant sous de verts arbres
Avec plaisir, sans douleur, car leur nourriture est le sang des Captifs.
Molech se réjouit à travers tout le pays, dans la
Loi morale et les sévères pénitences : le tonnerre de Shaddai et de Jéhovah
Retentit lourdement : quand ils voient les Douze victimes pantelantes
Sur les Douze Pierres du Pouvoir, et les belles Filles d’Albion
Si jamais vous osez déchirer leur Voile avec votre Lance, vous êtes guéris de l’Amour !
Ô belle Fille d’Albion, la cruauté est ton délice;
Ô Vierge aux yeux terribles, habitante de printanières Vallées,
Instruite pour jouer la harpe, pour danser dans les cercles de Guerriers
Devant les rois de Canaan; pour couper la chair des Victimes
Pour griller la chair dans le feu, pour examiner les membres de l’Enfant
En de saintes cruautés; pour refuser les joies de l’amour (...). Je suis ivre d’un amour insatisfait;
Je dois me précipiter à nouveau à la Guerre; car la Vierge a refusé en fronçant les sourcils.
Parfois je maudis et parfois je bénis ta fascinante beauté.
Il était un temps où l’Homme était occupé par des plaisirs et des énergies intellectuelles,
Mais maintenant mon âme est labourée par le chagrin, la peur, l’amour et le désir;
Et maintenant je hais, et maintenant j’aime, et l’Intellect n’est plus;
Il n’y a plus de temps pour rien d’autre que les tourments de l’amour et du désir.
Au paradis l’amour engendre l’amour, mais la peur est mère de l’amour terrestre!
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